Archives pour la catégorie Qualité

Prise en charge du patient psychotique

Prise en charge du patient psychotique, savoir faire face

Qu’est-ce que la psychose ?
Approche historique :
– Possession, sainteté et folie ;
– De l’asile à la psychiatrie ;
– Folie et psychose.

Les principales approches théoriques et leurs conséquences pratiques :
– Le DSM

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1 jour

ObjectifsMéthodologie pédagogiquePublic concernéPré-requisModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur

Savoir repérer par des signes d’alerte distinctifs les différentes sources de violences potentielles
Savoir adopter en chaque cas une attitude adéquate, afin de se protéger du passage à l’acte.

Pédagogie active et participative demandant une implication des participants tout au long de la formation. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.
Proposer aux participants un espace de réflexion et d’information concernant le handicap psychique afin de leur permettre d’en avoir une perception différente.
Des exercices, des mises en situation, des présentations de cas.
Des apports théoriques.
Interactivité.

Personnels hospitaliers, pénitentiaires, socio-éducatifs, médico-sociaux et tous professionnels accueillant des publics difficiles (groupe de 6 à 10 participants)

Exercer en établissement de soin en psychiatrie
Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
Formation non dispensée depuis 2015 – Absence de données.

Infirmier de secteur psychiatrique
Gestalt-analyste
Formateur agréé TERRA à la prévention de la crise suicidaire

 

Tuteur en psychiatrie

Tuteur en psychiatrie

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3 jours (2 + 1 à distance

ObjectifsMéthodologie pédagogiquePublic concernéPré-requisModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur

Formaliser les bonnes pratiques de soins :
– Analyser les processus de soins et trouver des pistes de décisions
– Définir les compétences à mobiliser

Transmettre les bonnes pratiques :
– Identifier des cas cliniques révélateurs de l’activité
– Evaluer les acquis du tutoré en situation de travail
– Apprendre à superviser le travail du tutoré
– Evaluer la démarche d’apprentissage 

Apports de connaissances dans le domaine de la pédagogie d’adulte et des processus d’apprentissage.
Échanges structurés à partir des problématiques spécifiques rencontrées par les professionnels qui constituent les bases de l’offre pédagogiques d’accompagnement.
Réalisation d’un support déclinant l’ensemble des travaux réalisés par les professionnels en formation qui pourra servir à l’évaluation interne du dispositif de tutorat.

Professionnels en service de psychiatrie

Exercer en établissement de soin en psychiatrie
Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
Formation non dispensée depuis 2015 – Absence de données.

Cadre supérieur de pôle
Cadre supérieur de santé
Infirmier de secteur psychiatrique
Formateur agréé TERRA

 

Introduction aux pathologies mentales

Consolidation des savoirs en psychiatrie. Introduction aux pathologies mentales

Dans les services de soins les professionnels soignants sont amenés à être en contact avec des personnes psychologiquement fragile, sans pour autant être en mesure de les identifier.

Une présentation claire et précise des différentes psychopathologies ainsi que des traitements utilisés serait profitable pour aider les soignants à observer, repérer et différencier les profils à risques.

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2 à 3 jours

ObjectifsPublicPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur
Renforcer un positionnement professionnalisé.
Acquérir ou développer les connaissances de base sur les principales pathologies mentales et leurs traitements.
Pouvoir transmettre par oral et écrit des observations soignantes.
Professionnels exerçant dans le domaine médico-social.
Professionnels exerçant dans le domaine sanitaire.
Exercer dans le secteur médico-social
La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

– Apports théoriques
– Etudes de cas
– Mise en situation
– Amélioration de la pratique

Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
93% des participants se déclarent satisfaits ou très satisfaits (sur 72 participants entre 2016 et 2021)

Cadre supérieur de pôle
Cadre supérieur de santé
Infirmier de secteur psychiatrique
Formateur agrée TERRA

L’insulte, un défi pour l’éthique professionnelle

L’insulte, un défi pour l’ethique professionnelle

« Le premier homme à jeter une insulte plutôt qu’une pierre est le fondateur de la civilisation » Sigmund Freud

Le 21 février 2012 les députés votent la pénalisation des insultes aux Harkis.

Face aux insultes, chacun sent combien il est défié dans ses capacités de patience et de tolérance. Chacun sent le temps de crise que constitue le temps de l’insulte. Et combien la réponse qu’on fera (quand bien même elle serait un silence) constituera un moment critique qui orientera de manière décisive la relation à l’autre..
Bien sûr, l’insulte est perçue dans le champs social comme une agression, un comportement négatif que nous réprouvons. Toutefois, pouvons-nous interdire et condamner l’insulte comme on interdit et punit les coups ou le vol ? L’insulte ne constitue-t-elle pas un acte à part, un moment singulier dans les conflits entre les hommes ? N’a-t-elle pas une place et une fonction cruciales entre le verbe et l’action ?
Et la posture professionnelle ? Un magistrat, un policier ou un éducateur n’ont-il pas des conduites toutes particulières face aux insultes ?
Nous chercherons ici à déterminer ce qu’est une insulte, à la distinguer de l’injure, du juron et de la menace. Nous analyserons quelques cas de jurisprudence et tenterons de comprendre sa fonction sociale. Nous aborderons son rôle dans la construction psycho-dynamique de l’adolescent. Nous nous poserons enfin la question de la victime : qu’en comprendre, que lui répondre ?
Nous soutiendrons :
– Que l’insulte a aussi une fonction positive
– Que le contenu sémantique de l’insulte est loin d’être indifférent
– Que l’insulte interroge l’identité de l’insulté
– Que l’insulte peut être une chance, un kairos dans la relation à l’autre
– Que l’interdire et la condamner présentent un risque
– Que le destin de l’insulte dépend de celui qui l’écoute
– Que l’insulte doit néanmoins rester un délit et entendue comme une agression

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1 jour

ObjectifsPublicPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur
Déterminer et classer les insultes.
Mieux comprendre les mécanismes en jeu dans la profération de l’insulte.
Comprendre la fonction sociale de l’insulte.
Mieux comprendre les enjeux éthiques et les réponses professionnelles face aux insultes.
Mieux entendre et répondre aux victimes.
Magistrats, policiers, éducateurs, psychiatres, professeurs….
Tout professionnel accompagnant des publics difficiles..
Exercer dans un établissement ou une institution accueillant un public difficile.
Pédagogie active et participative demandant une implication des participants tout au long de la formation. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.
Apports théoriques (juridiques, éthiques et psycho-dynamiques)
Analyse de cas de jurisprudence.
Analyse des pratiques professionnelles des participants.
Humour.
Mises en situation devant le groupe, analysées et commentées par l’intervenant/e
98% des participants se déclarent satisfaits ou très satisfaits (sur 20 participants en 2019)

Jean-Marie Vidament

Responsable pédagogique du centre Éthical formation spécialisé dans l’éthique médicale et hospitalière ( Bientraitance, comités d’éthiques…).
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques.
Maîtrise de philosophie, Rennes I.
Master d’Ethique Médicale Hospitalière.
Publications d’articles, conférences

ObjectifsMéthodologie pédagogiquePublic concerné

Déterminer et classer les insultes.
Mieux comprendre les mécanismes en jeu dans la profération de l’insulte.
Comprendre la fonction sociale de l’insulte.
Mieux comprendre les enjeux éthiques et les réponses professionnelles face aux insultes.
Mieux entendre et répondre aux victimes.

Pédagogie active et participative demandant une implication des participants tout au long de la formation. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.
Apports théoriques (juridiques, éthiques et psycho-dynamiques)
Analyse de cas de jurisprudence.
Analyse des pratiques professionnelles des participants.
Humour.

Magistrats, policiers, éducateurs, psychiatres, professeurs….
Tout professionnel accompagnant des publics difficiles..

 

Bientraitance en structure d’aide à domicile

Bientraitance en structure d’aide à domicile, comprendre et pratiquer

Au-delà de leurs connaissances spécifiques et de leurs savoirs, les professionnels intervenant à domicile sont aujourd’hui plus que jamais interrogés sur les aspects éthiques et déontologiques de leur métier. Depuis 2002 plusieurs lois sont venues encadrer les pratiques médicales, paramédicales et médico-sociales. Dans la même période d’importants travaux universitaires et institutionnels ont été engagés. Le 29 octobre 2012 la HAS a publié une dizaine d’outils qui viennent finaliser et formaliser la notion de Bientraitance, et compléter les recommandations de l’ANESM.

Cette formation, dans son mouvement général, vise une compréhension pratique des attendus de la HAS et de l’ANESM en matière de bientraitance, jusqu’à leur mise en pratique effective dans le service

planning

3 jours

Profil du formateur

Jean-Marie Vidament :

Gérant de l’organisme Ethical Formation, spécialisé dans l’éthique de la santé mentale
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques
Maîtrise de philosophie, Rennes I
Master d’Ethique Médicale Hospitalière
Membre entrant du groupe de recherche Ethique, professionnalisme et santé, UBO, Brest
Membre du Comité d’éthique de la Fondation Bon Sauveur (Bégard)
Formateur depuis 10 ans sur les thématiques de l’éthique et de la bientraitance dans plus de 50 établissements sur tout le nord de la France.

ObjectifsPublic concernéPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur

Porter à la connaissance des participants la notion de bientraitance, sa traduction juridique, ses enjeux éthiques et les nouveaux outils de la HAS.
Aperçu historique de la notion.
Bientraitance : définitions.
Connaître le cadre législatif.
Introduction aux recommandations de l’ANESM.
Apport d’outils d’analyse (HAS).
La bientraitance sur le terrain : étude de cas.

Professionnels d’aide à domicile

Exercer dans le secteur médico-social à domicile

La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

Apports théoriques
Etudes de cas 
Mise en situation
Amélioration de la pratique

Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
Formation non dispensée depuis 2017 – Absence de données.

Jean-Marie Vidament :

Gérant de l’organisme Ethical Formation, spécialisé dans l’éthique de la santé mentale
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques
Maîtrise de philosophie, Rennes I
Master d’Ethique Médicale Hospitalière
Membre entrant du groupe de recherche Ethique, professionnalisme et santé, UBO, Brest
Membre du Comité d’éthique de la Fondation Bon Sauveur (Bégard)
Formateur depuis 10 ans sur les thématiques de l’éthique et de la bientraitance dans plus de 50 établissements sur tout le nord de la France.

Bientraitance en structure médico-sociale

Bientraitance en structure médico-sociale, comprendre et pratiquer

Au-delà de leurs connaissances spécifiques et de leurs savoirs, les professionnels du médico-social sont aujourd’hui plus que jamais interrogés sur les aspects éthiques et déontologiques de leur métier. Depuis 2002 plusieurs lois sont venues encadrer les pratiques médicales, paramédicales et médico-sociales. Dans la même période d’importants travaux universitaires et institutionnels ont été engagés. Le 29 octobre 2012 la HAS a publié une dizaine d’outils qui viennent finaliser et formaliser la notion de Bientraitance, et compléter les recommandations de l’ANESM.

Cette formation, dans son mouvement général, vise une compréhension pratique des attendus de la HAS et de l’ANESM en matière de bientraitance, jusqu’à leur mise en pratique effective dans les différents services.

planning

5 jours

ObjectifsPublicPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil des formateurs
Porter à la connaissance des participants la notion de bientraitance, sa traduction juridique, ses enjeux éthiques et les nouveaux outils de la HAS.
Aperçu historique de la notion.
Bientraitance : définitions.
Connaître le cadre législatif.
Introduction aux recommandations de l’ANESM.
Apport d’outils d’analyse (HAS).
La bientraitance sur le terrain : étude de cas.
Professionnels de structure médico-sociale
Exercer dans le secteur médico-social
La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

Apports théoriques
Etudes de cas 
Mise en situation
Amélioration de la pratique

Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
Formation non dispensée depuis 2017 – Absence de données.

Une équipe de 3 intervenants

Un premier formateur, spécialiste de l’éthique médicale hospitalière, décryptera les textes et apportera des outils conceptuels indispensables à toute démarche de réflexion éthique dans le cadre de la bientraitance.
Le second formateur, cadre supérieur de pôle, animera une réflexion à partir de cas pratiques qui posent régulièrement question sur le terrain. Il aidera à repérer les risques de maltraitance et aidera à s’orienter vers des pratiques bientraitantes. Notez que les deux formateurs co-animeront toutefois chacune des deux premières journées.
La troisième intervenante, cadre de santé, co-animera la dernière journée commune, sur les aspects axiologiques de la bientraitance.