Archives pour la catégorie Catalogue General

Approche éthique des pratiques de soins

Approche éthique des pratiques de soins, réflexion et positionnement

La dissymétrie des rapports soignant/soigné, autant que l’importance des enjeux du soin, entraînent des exigences fortes quant à la pratique du métier. La maladie et l’incertitude restreignent la tolérance du patient, le rendent vulnérable, dépendant, parfois confus et moins autonome. Une vigilance accrue, une veille permanente, une analyse régulière des singularités de la pratique s’imposent alors. Une approche éthique des pratiques de soin.

planning

2 jours

ObjectifsMéthodologie pédagogiquePublicPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur
Maîtriser les outils d’analyse que requière une réflexion éthique sur les pratiques de soin, et les mettre concrètement en oeuvre. 

La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

– Apports théoriques
– Etudes de cas 
– Mise en situation
– Amélioration de la pratique

Professionnels soignants

Exercer dans le secteur médico-social
La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

– Apports théoriques
– Etudes de cas 
– Mise en situation
– Amélioration de la pratique

Mises en situation devant le groupe, analysées et commentées par l’intervenant/e
Formation non dispensée depuis 2016 – Absence de données.

Jean-Marie Vidament

Responsable pédagogique du centre Éthical formation spécialisé dans l’éthique médicale et hospitalière ( Bientraitance, comités d’éthiques…).
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques.
Maîtrise de philosophie, Rennes I.
Master d’Ethique Médicale Hospitalière.
Publications d’articles, conférences

 

L’insulte, un défi pour l’éthique professionnelle

L’insulte, un défi pour l’ethique professionnelle

« Le premier homme à jeter une insulte plutôt qu’une pierre est le fondateur de la civilisation » Sigmund Freud

Le 21 février 2012 les députés votent la pénalisation des insultes aux Harkis.

Face aux insultes, chacun sent combien il est défié dans ses capacités de patience et de tolérance. Chacun sent le temps de crise que constitue le temps de l’insulte. Et combien la réponse qu’on fera (quand bien même elle serait un silence) constituera un moment critique qui orientera de manière décisive la relation à l’autre..
Bien sûr, l’insulte est perçue dans le champs social comme une agression, un comportement négatif que nous réprouvons. Toutefois, pouvons-nous interdire et condamner l’insulte comme on interdit et punit les coups ou le vol ? L’insulte ne constitue-t-elle pas un acte à part, un moment singulier dans les conflits entre les hommes ? N’a-t-elle pas une place et une fonction cruciales entre le verbe et l’action ?
Et la posture professionnelle ? Un magistrat, un policier ou un éducateur n’ont-il pas des conduites toutes particulières face aux insultes ?
Nous chercherons ici à déterminer ce qu’est une insulte, à la distinguer de l’injure, du juron et de la menace. Nous analyserons quelques cas de jurisprudence et tenterons de comprendre sa fonction sociale. Nous aborderons son rôle dans la construction psycho-dynamique de l’adolescent. Nous nous poserons enfin la question de la victime : qu’en comprendre, que lui répondre ?
Nous soutiendrons :
– Que l’insulte a aussi une fonction positive
– Que le contenu sémantique de l’insulte est loin d’être indifférent
– Que l’insulte interroge l’identité de l’insulté
– Que l’insulte peut être une chance, un kairos dans la relation à l’autre
– Que l’interdire et la condamner présentent un risque
– Que le destin de l’insulte dépend de celui qui l’écoute
– Que l’insulte doit néanmoins rester un délit et entendue comme une agression

planning

1 jour

ObjectifsPublicPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur
Déterminer et classer les insultes.
Mieux comprendre les mécanismes en jeu dans la profération de l’insulte.
Comprendre la fonction sociale de l’insulte.
Mieux comprendre les enjeux éthiques et les réponses professionnelles face aux insultes.
Mieux entendre et répondre aux victimes.
Magistrats, policiers, éducateurs, psychiatres, professeurs….
Tout professionnel accompagnant des publics difficiles..
Exercer dans un établissement ou une institution accueillant un public difficile.
Pédagogie active et participative demandant une implication des participants tout au long de la formation. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.
Apports théoriques (juridiques, éthiques et psycho-dynamiques)
Analyse de cas de jurisprudence.
Analyse des pratiques professionnelles des participants.
Humour.
Mises en situation devant le groupe, analysées et commentées par l’intervenant/e
98% des participants se déclarent satisfaits ou très satisfaits (sur 20 participants en 2019)

Jean-Marie Vidament

Responsable pédagogique du centre Éthical formation spécialisé dans l’éthique médicale et hospitalière ( Bientraitance, comités d’éthiques…).
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques.
Maîtrise de philosophie, Rennes I.
Master d’Ethique Médicale Hospitalière.
Publications d’articles, conférences

ObjectifsMéthodologie pédagogiquePublic concerné

Déterminer et classer les insultes.
Mieux comprendre les mécanismes en jeu dans la profération de l’insulte.
Comprendre la fonction sociale de l’insulte.
Mieux comprendre les enjeux éthiques et les réponses professionnelles face aux insultes.
Mieux entendre et répondre aux victimes.

Pédagogie active et participative demandant une implication des participants tout au long de la formation. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.
Apports théoriques (juridiques, éthiques et psycho-dynamiques)
Analyse de cas de jurisprudence.
Analyse des pratiques professionnelles des participants.
Humour.

Magistrats, policiers, éducateurs, psychiatres, professeurs….
Tout professionnel accompagnant des publics difficiles..

 

Le soin psychiatrique, une approche éthique

Le soin psychiatrique, une approche éthique, comprendre et pratiquer

Au-delà de leurs connaissances spécifiques et de leurs savoirs, les professionnels de la santé mentale sont aujourd’hui plus que jamais interrogés sur les aspects éthiques et déontologiques de leur métier. Depuis 2002 plusieurs lois sont venues encadrer les pratiques sanitaires et médico-sociales. Dans la même période d’importants travaux universitaires et institutionnels ont été engagés.

Si le DSM apporte un outil diagnostic, si des moyens techniques (médicaments, structures d’accueil etc.) sont à la disposition du praticien, le problème de la finalité du soin, de son sens, bref une problématique éthique est spécifique à la psychiatrie. En effet, si les notions de normalité et de modèle sont pertinents en médecine somatique, elles sont bien plus difficiles à manier dans ce champ : quel serait une «normalité» ou un «modèle» de «bonne santé» mentale ? L’exigence de généralité et de reproductibilité propre à la médecine comme science se heurte à celle, éthique, de considérer chaque patient dans la singularité de son histoire et de son identité.

planning

3 jours

ObjectifsPublicPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur
Maîtriser la notion d’éthique et savoir traiter les grandes questions d’éthique médicale et hospitalière.
Maîtrise des notions d’éthique, de morale, déontologie, etc.
Comprendre les enjeux éthiques des situations critiques récurrentes en établissement de soins psychiatriques.
Analyse des pratiques depuis la question éthique.
Interroger le fonctionnement d’un comité d’éthique
Professionnels travaillant en milieu psychiatrique
Exercer en établissement de soin en psychiatrie
Apports théoriques

Analyse lexicologique :

Il s’agit ici de maîtriser la notion d’éthique et des notions connexes, pour en faire des outils pratiques d’analyse des situations concrètes vécues par l’établissement (éthique, morale, déontologie, liberté, dignité, vulnérabilité, responsabilité, norme, règle, loi, santé, bien, mal et maladie, valeur, violence, corps et esprit).

Analyse de problématiques éthiques typiques de la médecine psychiatrique :

Nous aborderons ici des situations généralement critiques, qui soulèvent régulièrement des questions d’ordre éthique. Le but est de fournir une méthodologie dans le traitement des questions.
– Les 4 formules de placements sous contrainte ;
– La contention ;
– L’insulte ;
– La bouffée délirante ;
– Place et information des familles ;
– Psychotrope, symptôme et éthique ;
– L’annonce d’un diagnostic.
(La liste n’est pas close)

Rappel du droit, des recommandations de l’ANESM et outils de la HAS

La recommandation sur « La bientraitance : définition et repères pour la mise en œuvre » a un caractère de recommandation-cadre. Elle précise les grandes orientations recommandées aux structures visées à l’article 312.1 et à l’article 313.1.1 du Code de l’Action Sociale et des Familles.
Les 7 outils de la HAS, contrôle et auto-évaluation.
Rapport 2009 sur «Les risques de la contention».
Déclaration Universelle des droits de l’homme (10 décembre 1948) à l’ONU.
Déclaration des droits des personnes handicapées (9 décembre 1975) à l’ONU.
Charte des droits et libertés de la personne âgée dépendante (mars 1988 puis 1999)
Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 2000. Loi n°2002.2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale.
Loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées

L’éthique en pratique

Ateliers en sous-groupes : analyse de situations vécues par les participants
Recherche de positionnements éthiques : individuels, collectifs et institutionnels.
Reprise, éclairages et synthèse par le formateur.
Aide au fonctionnement d’un comité d’éthique : constitution, positionnement, rythme etc

Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
94% des participants se déclarent satisfaits ou très satisfaits

Jean-Marie Vidament

Responsable pédagogique du centre Ethical formation spécialisé dans l’éthique médicale et hospitalière ( Bientraitance, comités d’éthiques…).
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques.
Maîtrise de philosophie, Rennes I.
Master d’Ethique Médicale Hospitalière.
Publications d’articles, conférences

Bientraitance en structure d’aide à domicile

Bientraitance en structure d’aide à domicile, comprendre et pratiquer

Au-delà de leurs connaissances spécifiques et de leurs savoirs, les professionnels intervenant à domicile sont aujourd’hui plus que jamais interrogés sur les aspects éthiques et déontologiques de leur métier. Depuis 2002 plusieurs lois sont venues encadrer les pratiques médicales, paramédicales et médico-sociales. Dans la même période d’importants travaux universitaires et institutionnels ont été engagés. Le 29 octobre 2012 la HAS a publié une dizaine d’outils qui viennent finaliser et formaliser la notion de Bientraitance, et compléter les recommandations de l’ANESM.

Cette formation, dans son mouvement général, vise une compréhension pratique des attendus de la HAS et de l’ANESM en matière de bientraitance, jusqu’à leur mise en pratique effective dans le service

planning

3 jours

Profil du formateur

Jean-Marie Vidament :

Gérant de l’organisme Ethical Formation, spécialisé dans l’éthique de la santé mentale
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques
Maîtrise de philosophie, Rennes I
Master d’Ethique Médicale Hospitalière
Membre entrant du groupe de recherche Ethique, professionnalisme et santé, UBO, Brest
Membre du Comité d’éthique de la Fondation Bon Sauveur (Bégard)
Formateur depuis 10 ans sur les thématiques de l’éthique et de la bientraitance dans plus de 50 établissements sur tout le nord de la France.

ObjectifsPublic concernéPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil du formateur

Porter à la connaissance des participants la notion de bientraitance, sa traduction juridique, ses enjeux éthiques et les nouveaux outils de la HAS.
Aperçu historique de la notion.
Bientraitance : définitions.
Connaître le cadre législatif.
Introduction aux recommandations de l’ANESM.
Apport d’outils d’analyse (HAS).
La bientraitance sur le terrain : étude de cas.

Professionnels d’aide à domicile

Exercer dans le secteur médico-social à domicile

La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

Apports théoriques
Etudes de cas 
Mise en situation
Amélioration de la pratique

Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
Formation non dispensée depuis 2017 – Absence de données.

Jean-Marie Vidament :

Gérant de l’organisme Ethical Formation, spécialisé dans l’éthique de la santé mentale
Spécialisé dans l’Ethique des Soins Psychiatriques
Maîtrise de philosophie, Rennes I
Master d’Ethique Médicale Hospitalière
Membre entrant du groupe de recherche Ethique, professionnalisme et santé, UBO, Brest
Membre du Comité d’éthique de la Fondation Bon Sauveur (Bégard)
Formateur depuis 10 ans sur les thématiques de l’éthique et de la bientraitance dans plus de 50 établissements sur tout le nord de la France.

Bientraitance en structure médico-sociale

Bientraitance en structure médico-sociale, comprendre et pratiquer

Au-delà de leurs connaissances spécifiques et de leurs savoirs, les professionnels du médico-social sont aujourd’hui plus que jamais interrogés sur les aspects éthiques et déontologiques de leur métier. Depuis 2002 plusieurs lois sont venues encadrer les pratiques médicales, paramédicales et médico-sociales. Dans la même période d’importants travaux universitaires et institutionnels ont été engagés. Le 29 octobre 2012 la HAS a publié une dizaine d’outils qui viennent finaliser et formaliser la notion de Bientraitance, et compléter les recommandations de l’ANESM.

Cette formation, dans son mouvement général, vise une compréhension pratique des attendus de la HAS et de l’ANESM en matière de bientraitance, jusqu’à leur mise en pratique effective dans les différents services.

planning

5 jours

ObjectifsPublicPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiairesProfil des formateurs
Porter à la connaissance des participants la notion de bientraitance, sa traduction juridique, ses enjeux éthiques et les nouveaux outils de la HAS.
Aperçu historique de la notion.
Bientraitance : définitions.
Connaître le cadre législatif.
Introduction aux recommandations de l’ANESM.
Apport d’outils d’analyse (HAS).
La bientraitance sur le terrain : étude de cas.
Professionnels de structure médico-sociale
Exercer dans le secteur médico-social
La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

Apports théoriques
Etudes de cas 
Mise en situation
Amélioration de la pratique

Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
Formation non dispensée depuis 2017 – Absence de données.

Une équipe de 3 intervenants

Un premier formateur, spécialiste de l’éthique médicale hospitalière, décryptera les textes et apportera des outils conceptuels indispensables à toute démarche de réflexion éthique dans le cadre de la bientraitance.
Le second formateur, cadre supérieur de pôle, animera une réflexion à partir de cas pratiques qui posent régulièrement question sur le terrain. Il aidera à repérer les risques de maltraitance et aidera à s’orienter vers des pratiques bientraitantes. Notez que les deux formateurs co-animeront toutefois chacune des deux premières journées.
La troisième intervenante, cadre de santé, co-animera la dernière journée commune, sur les aspects axiologiques de la bientraitance.

Bientraitance en psychiatrie

Bientraitance en psychiatrie, comprendre et pratiquer. Une approche éthique des soins en santé mentale

Au-delà de leurs connaissances spécifiques et de leurs savoirs, les professionnels du Sanitaire sont aujourd’hui plus que jamais interrogés sur les aspects éthiques et déontologiques de leur métier. Depuis 2002 plusieurs lois sont venues encadrer les pratiques médicales, paramédicales et médico-sociales. Dans la même période d’importants travaux universitaires et institutionnels ont été engagés. Le 29 octobre 2012 la HAS a publié une dizaine d’outils qui viennent finaliser et formaliser la notion de Bientraitance, et compléter les recommandations de l’ANESM.

Si le DSM apporte un outil diagnostic, si des moyens techniques (médicaments, structures d’accueil etc.) sont à la disposition du praticien, le problème de la finalité du soin, de son sens, bref une problématique éthique est spécifique à la psychiatrie. En effet, si les notions de normalité et de modèle sont pertinents en médecine somatique, elles sont bien plus difficiles à manier dans ce champ : quel serait une «normalité» ou un «modèle» de «bonne santé» mentale ? L’exigence de généralité et de reproductibilité propre à la médecine comme science se heurte à celle, éthique, de considérer chaque patient dans la singularité de son histoire et de son identité.

Cette formation, dans son mouvement général, vise une compréhension pratique des attendus de la HAS et de l’ANESM en matière de bientraitance, jusqu’à leur mise en pratique effective dans les différents service.
Un premier formateur, spécialiste de l’éthique médicale hospitalière, décryptera les textes et apportera des outils conceptuels indispensables à toute démarche de réflexion éthique.
Le second formateur, cadre supérieur de pôle en psychiatrie, animera une réflexion à partir de cas pratiques qui posent régulièrement question sur le terrain. Il aidera à repérer les risques de maltraitance et aidera à s’orienter vers des pratiques bientraitantes.

planning

3 jours

ObjectifsPublic concernéPré-requisMéthodologie pédagogiqueModalités d'évaluationTaux de satisfaction des stagiaires

Porter à la connaissance des participants la notion de bientraitance, sa traduction juridique, ses enjeux éthiques et les nouveaux outils de la HAS.
Aperçu historique de la notion.
Bientraitance et psychiatrie : définitions.
Connaître le cadre législatif.
Introduction aux recommandations de l’ANESM.
Apport d’outils d’analyse (HAS).
La bientraitance sur le terrain : étude de cas.

Professionnels travaillant en structure psychiatrique

Exercer en établissement de soin en psychiatrie
La pédagogie employée lors de cette formation est active et participative. Elle demande une implication des participants tout au long du stage. Il s’agira pour les participants de s’approprier le savoir véhiculé par leur expérience.

Apports théoriques
Etudes de cas
Mise en situation
Amélioration de la pratique

Evaluation des connaissances en fin de stage sous forme de quiz ou de QCM.
94% des participants se déclarent satisfaits ou très satisfaits (sur 12 participants en 2019)